Il y aura donc l’écriture, toujours injuste, toujours incertaine. Sonder les émotions les plus violentes, en offrir les miettes au monde. Ecrire, s’enraciner dans les mots et dans la vague de la langue, toujours nouvelle, incessante, qui vient se déposer là sur les rives de la conscience.
N'avoir que cela pour enracinement. Cet océan de lettres. Infini, indestructible, dont la présence est incontestable, troublante, rassurante. J’y vogue.
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