Être déterminé. Leur regard, ma pensée, une éducation. Déterminé par on ne sait quels hasards, on ne sait quels passés, et l’envie de les dépasser. D’où l’intérêt de vivre, de rire, de rencontrer, de chercher.
De partout où l’on passe, saisir et capturer, ce que de différent à nous il y a à questionner. Accepter de vivre dans l’indétermination. Au fil des jours et des années, de ce qui nous entoure nous colorer.
S’apaiser de ce qu’il y a de vivant, tant qu’il est encore temps.
Ne pas en soi s’emprisonner. Mais à soi se fier pour vers d’autres horizons se laisser porter. S’arrimer à ce qui résonne, à ce qui en nous nous passionne.
Approuver et refuser, mais légèrement, seulement, jamais avec trop de conviction ni d’autopersuasion. Pour se laisser l’espace du changement, du retournement, si cela nous semble – pour finir – plus intelligent.
Aimer l'insouciance. Côtoyer l'innocence. Fuir les discours qui de vous vous rendent sourd, et de temps en temps, oui, aussi, se l’avouer, être plutôt sot. S’en amuser. Mélodie, sérénade, concerto. Faire valser les notes sur le piano. Laisser la musique envahir vos mots.
S’entourer, s’isoler, douter. Mais toujours, par soi commencer.
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